"La musique de Yann Tiersen aux creux de mes oreilles, allongée sur mon lit dans cette chambre assombrie par l’orage, les mains croisée et les yeux mouillés qui ne cessent de regarder le plafond.
J’ai pleuré une bonne partie de l’après midi, en imaginant qu’ici les maisons délabrées se transformeraient peut être un jour en bouquet, la misère en mandarine, et toute ma colère en amitié….Rêveuse saltimbanque, naïve au point de penser que l’on peut être aimé par un Désert, je peints mes rêves avec tant d’inconscience et pourtant qui espère." tirée de mes petites notes le dimanche 25 septembre 2011- Centrafrique
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